Et quand tout fout le camp Je prends la poudre d’escampette Qu’à mes tempes mon poult ralentisse Que les voix se taisent Après la tempête Je flotte dessus mes hantises
Dessus la peur d’être fou À lier Marteau comme ici les requins Que j’ai dans la coloquinte Au fond du bocal Fêlé
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire